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” Trialogue Francis FUKUYAMA/ Mohamed ZINELABIDINE / Samuel HUNTINGTON” et ses Correspondances avec André Malraux

Mohamed Zinelabidine, ancien ministre tunisien de la culture, invité dans nombreux pays pour présenter ses ouvrages ” Trialogue Francis FUKUYAMA/ Mohamed ZINELABIDINE / Samuel HUNTINGTON” et ses Correspondances avec André Malraux 
Après avoir présenté ses publications au Mexique, en marge de la Conférence mondiale sur les politiques culturelles organisée par l’Unesco, également à  Fès, Rabat, Paris, Riad, Yaoundé et au Caire, Mohamed Zinelabidine s’apprête à répondre à nombreuses invitations pour débattre de ses écrits dans les universités et centres de recherche du monde dont le Brésil.
Et pour rappel,  ce “Trialogue” réunit, en effet, trois auteurs Francis FUKUYAMA, Mohamed ZINELABIDINE et Samuel HUNTINGTON, et reprend des conférences, œuvres et ouvrages de l’auteur, pour partager des prises de position exprimées lors de conférences à l’Université Sorbonne Paris IV-France, (1992), Université Paris 8 Vincennes-France (1992), Institut du Monde arabe, Paris- France (1993), Georgetown Université, Washington- USA (1995), Smithsonian Institute, Washington-USA (1995), World Bank, Washington-USA (1995), York University, Toronto-Canada (1997), Haus Der Kulturen der Welt, Berlin-Allemagne (1997), Duke University, North Carolina-USA (1998), National Tapei University, Taiwan (2001), Université de Karlsrhue- Allemagne (2003), Université Paris I-Panthéon Sorbonne, France (2005), Institut Italie/Tunisie pour le Développement de la Culture en Méditerranée, Rome- Italie (2009), Agence Universitaire de Francophonie- Rabat- Maroc (2013), et ailleurs en Tunisie, Italie, Malte, Russie, Suisse, Allemagne, Belgique, Corée du Sud, Chine, Egypte, Jordanie, Maroc, Emirats-Arabes-Unis, Sénégal, Côte d’Ivoire jusqu’à 2020…  
Ce “Trialogue” traite de la Culture au cœur des changements géopolitiques en cours. Des parcours anachroniques qui ont conduit l’auteur à lire et à réagir, depuis les années 1992, à des prises de position auxquelles il ne peut être étranger, étant lui-même né de mondes croisés, dans la reliance et la défiance, des savoirs, des arts et de la géopolitique. Ces mondes qui se sont conflués, rejetés, rétablis et ignorés, que sont l’Orient et l’Occident. Il s’essaie à un nouveau «Divan Occidental Oriental» de Goethe, aussi possible qu’improbable dont l’auteur continuera de puiser ses lettres d’inspiration, de réflexion et d’action,
en réintroduisant la dimension intrasubjective, émotionnelle, et en œuvrant pour une herméneutique compréhensive où la Culture deviendrait un privilège pour pacifier ce monde à la croisée des guerres et des incompréhensions mutuelles. La clé, selon Mohamed ZINELABIDINE, c’est la Culture pour repenser le monde, et agir en faveur de relations internationales moins tragiques, moins conflictuelles. Ce que l’auteur dévoile au regard d’arguments de confluence et de partage puisés dans l’histoire universelle, l’anthropologie sociale, la philosophie, les lettres et les arts, témoins d’un monde autrement plus apaisé. Contre l’idée d’un clash civilisationnel de S.P. HUNTINGTON, et contre la célébration d’une mondialisation marchande, présentée comme idyllique par F. FUKUYAMA et son recours exclusif à la démocratie libérale, le consensus en serait la synthèse, selon Mohamed ZINELABIDINE. Il serait temps aujourd’hui de réinventer une voix conciliante entre toutes ces composantes, au moyen de la prise en compte de la diversité culturelle, et de la prise en charge de “l’humain”, de “l’imaginal”, du ” coenesthésique”, de “l’impensé “, comme sources d’un monde qui manque à ses fondements symboliques. “Les devoirs des États”, selon Max Weber, comme impératifs des relations internationales, la mondialisation mercantile effrénée, pour justifier le joug des uns quant aux autres, les exactions de toute nature… devraient se réviser, au profit d’un “humanisme partagé “, sans doute à mieux réinventer. Un “humanisme” qui tiendrait compte de l’individu, son intégrité, sa prévalence, sa singularité et son patrimoine moral, à reconquérir plutôt qu’assujetir et en disposer. 
Un appel à puiser dans la Culture comme remède à l’outrance et l’injustice globalisées.
Mohamed ZINELABIDINE
Ministre tunisien des affaires culturelles (2016-2020) Titulaire de trois doctorats, en Esthétique  géopolitique et Sciences de l’art, Paris I-Panthéon Sorbonne/ en Sociologie culturelleet politique, René Descartes- Sorbonne Paris V/ en Esthetique et théories musicales au Moyen Âge, Sorbonne Paris IV/ H.D.R. de l’Université Paris 8. Professeur des Universités depuis 2006, Président du Laboratoire de recherche CUNTIC(2005-2020) à l’Université de Tunis, Directeur de recherche, Président et Rapporteur des jurys de thèses aux Universités de la Sorbonne (depuis 1998) et Université Paris 8 et Artiste.
Médaille du Président de la République Italienne 2001 », « Personnalité culturelle de la Méditerranée 2001» Association Ondes Méditerranéennes, Italie, «Personnalité culturelle de la Méditerranée 2009» Institut Italie/Tunisie pour le Développement de la Culture, Rome, «Prix Méditerranéen de la Culture 2018» Fondation de la Méditerranée, Naples, « Grand Cordon de l’Ordre National du Mérite Culturel, remis par le Président de la République Tunisienne » en 2019.

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